Summary of Children of the Street by Kwei Quartey

Paul Ayutoliya writes:

IMG_20190215_133844 smDetective Inspector Dawson affectionately referred to as ‘Dark’ by his lovely wife Christine sets out to unravel the mysteries surrounding the killings or murders of young teenagers in the city of Accra. Dawson was called to a scene where a dead body almost at decomposition state was discovered at the Korle Lagoon near Agbogbloshie market in the capital city of Ghana Accra. Agbogbloshie’s market was a hub for all sorts of crimes. He met some of his colleagues from the Ghana police service trying to bring the dead body out from the filthy stinking lagoon that was covered with waste of all kinds. It was difficult identifying the body right at the spot. Dawson working with the mortuary men and some friends from the media to establish that the victim died from a stabbing at the back and the victim was also identified as Musa Zakari after a girl friend (Akosua) came sobbing uncontrollable with her friend Regina with and also the DNA test confirmation. Detective Inspector Dawson asked the girls who they saw last with Musa Zakari before he went missing. The girlfriend responded by saying Musa was last seen with one Daramani who helped Musa carry some load to Maamobi, the mentioning of Daramani from Nima Maamobi sent some shock waves down the entire system of Dawson. Dawson had one ex-convict who was convicted over drugs (weed) issues as a friend, there’s a lot Dawson and Daramani share with each other in secret. Dawson fear was because he had an uncontrolled appetite for weed (he secretly smokes) which Daramani know of, he feared this secret could be revealed if something is not done quickly, Dawson tried reaching Daramani without success. In no time some rumour of conflict of interest comments were heard from some of Dawson colleagues at the service because he visited Daramani place without Seageant Chikata who obviously should have been part of that visit.

Sergeant Chikata who was lower in rank to Dawson in his quest to get to the top at all cost without wanting to pass through the right procedure saw him taking over the investigation with the support of his relative Superintendent Theoplilus Lartey. His investigation style was very shallow and lacks professionalism. All the praises shower on him (Chikata) from some colleagues, the newspapers and others turned otherwise when the DNA test on the knife he pick from Daramani room with blood stains turned out to be that of animals blood and not human. Chikata was confounded, sad, sorrowful and guilty of being disrespectful to his superior Dawson, he thought he knew better but no. Dawson continued with the investigations to find out who murdered Musa Zakari, before he could even get any meaningful information another dead body was reported at a constructions site. This dead body neck was broken with the head facing up and stomach facing down, there was a Street Children of Accra Refuge (SCOAR) card found on him bearing the name Ebenezer Sarpong. Dawson and his colleagues’ police force were becoming more worry of the number of murder cases being recorded. Detective Inspector Dawson was determined to unravel the mysteries of these unusual deaths.

Hosiah, Dawson’s son, had a hole in the heart condition and was a nightmare to Dawson, anytime Dawson thinks of his son and his condition that need urgent surgery which they were not able to afford the fees, Dawson always appear to be a restless man. But upon all these troubles, Dawson had not forgotten about Sly, the small boy that reported the death of Musa Zakari. Dawson had wanted to put Sly in a primary school but Gamel had absconded with Sly and nobody know their where about. Dawson continued the search as more crimes continued on the rise; one prostitute by name Comfort was raped, killed and dump at a refuse trash near the railway line, Dawson became more worried and wondered if the killings were for ritual purposes or a serial killer was on the loose or… what he could not tell. Dawson and Sergeant Chikata made a headway in their investigation as some of the prime suspects were arrested. Tedamm one of the notorious boy known for his cruelty was arrested with Flash a counterpart in connections with the murders, fighting and other bad related matters. Antwi and Ofuso were also questioned about what they know concerning Tedamm and Comforts death.

What a great novel it is, I am left with the third part which is the concluding part, I will let you know how this novel ends and my thoughts.

Visite de la bibliotheque mobile Penelope à Kaya au #Burkina

Le 5 février 2019, la BMP a été à l’école Centre B. Arrivé vers 13h au sein dudit établissement, les enfants ont commencé à choisir chacun son livre pour lire. Après une trentaine de minutes consacrées à la lecture, nous avons organisé le 1, 2, 3 lecture sur le livre de Fatou Keita intitulé La voleuse de sourires. Cette lecture était enchantée par les enfants, car non seulement l’histoire était fantastique mais aussi divertissante. En plus de ces activités, on a joué également à la marelle. Par ailleurs, on a organisé la traduction des phrases de la langue officielle(le français) en langues maternelles (moré, haoussa, dioula, fulfuldé…). Le puzzle était aussi au rendez-vous.

Le Naaba Koanga reçoit son livre photos à Rouko au #Burkina

Dans le cadre de la réalisation des livres photos par FAVL pour encourager les enfants à fréquenter les bibliothèques et à cultiver en eux le goût de la lecture, nous avons eu le plaisir de rencontrer le Naaba Koanga de Rouko dans la province.  Avec son accorde, il nous a fourni ses anciennes photos pour en faire un livre intitulé : Le Naaba Koanga : Chef de Rouko. En ce début du mois de février 2019, nous lui avons apporté deux copies chez lui dans son palais. Il s’est dit honoré et satisfait pour cette belle initiative d’immortaliser les évènements qui ont marqué sa vie. Sans tarder, il a fait appel à ses petits-fils pour leur présenter et faire une lecture.

Communication avec les bibliothécaires Kiembara, Pobé-Mengao, Korsimoro, Dablo et Barsalogho #Burkina #lwili

  • Kiembara le calme est revenu avec moins de peur. Les élèves des lycées et primaire ont repris les cours. le bibliothécaire ouvre sa bibliothèque selon les heures d’ouverture normales. Il reçoit des lecteurs et visiteurs. En moyenne il reçoit entre 20 à 30 lecteurs par jour avec 3 à 5 soties de livres. La convention envoyée par FAVL a fait plus d’un mois à Ouahigouya avant d’être récupérée. Pour le moment pas de suite. Aussi, il dit avoir reçu 100 000 F CFA au mois de janvier 2019 de la mairie. Madame le maire a rendu visite à la bibliothèque le 2 février. Lors de sa visite, elle a encouragé les jeunes lecteurs à fréquenter et lire. avant de partir, elle a remis un balafon comme jeu de distraction pour les enfants.
  • Pobé-Mengao le calme est revenu au village chacun dort chez lui avec moins de peur mais pour l’instant, c’est la mairie et la préfecture qui fonctionnent. Il faut souligner que la bibliothèque est toujours fermée et le bibliothécaire souffle d’une toux de plus deux semaine.
  • Korsimoro le bibliothécaire vague à ses préoccupations. Il ouvre la bibliothèque, reçoit des visiteurs avec un prêt de 3 à 5 livres par jour. Pour des raisons de prudence, il ne fait d’activités d’animation. Il reçoit ses frais de motivation malgré que son contrat n’ait pas été renouvelé.
  • Barsalogho ce sont les enfants qui fréquentent beaucoup la bibliothèque parce qu’ils juste à côté de la bibliothèque. Au moins de janvier 2019, il a enregistré 700 fréquentations et plus 20 sorties de livres. Aussi, l’animateur CRS est passé visiter la bibliothèque et a fait un don de livres d’auteurs africain. Il n’a pas reçu ses frais de motivation de janvier 2019. Il attend de voir d’ici fin février.
  • Dablo la bibliothèque ouvre ses portes comme d’habitude. La situation sécuritaire a eu un petit effet mais n’a pas empêché l’ouverture de la bibliothèque. Il ressort en moyenne 10 visiteurs et 5 à 8 sorties par jour. Coté frais de motivation, il n’a pas de problème. Ils sont juste prudents car le problème d’insécurité peut être à tout moment sérieux.

Les filles aiment-elles la lecture? #Burkina #lwili

filles aiment smNotre expérience lors de nos missions de supervision et d’accompagnement des bibliothèques que nous soutenons démontre que les filles aiment lire! Notre constat en date du 6 février 2019 à la bibliothèque communale de Konkoussi en témoigne. Nous avons rencontré Samiratou, Djèmila et Adidjatou toutes élèves en classe de CM1 venues échanger leurs livres. Interrogées sur la question à savoir pourquoi certaines personnes ont l’habitude de dire que les filles n’aiment pas lire, voici leur réaction :

«Nous aimons bien lire. Peut-on manger quelque chose que l’on ne possède pas ? Nous voici présentes ici pour échanger nos livres simplement parce que nous avons une bibliothèque avec des livres. Dites à ces personnes de mettre des livres à la disposition de nos camarades, nous sommes convaincus qu’elles les liront. Lire c’est ouvrir l’esprit, voyager et partager les pensées et les idées d’autres personnes».

Alors, mettons les livres à leur disposition et encourageons les filles ; nous verrons qu’elles les liront. Accompagner et encourager les filles à lire c’est établir une base solide pour le développement intellectuel d’une société.

Séance de discussion sur le livre Baba, l’élève rappeur au #Burkina

Le gérant de la bibliothèque villageoise de Dohoun, Kahoun Sibiri, a animé ce jeudi 7 février 2019, une séance de discussion sur un livre : Baba, l’élève rappeur. C’est au environ de 12h30mn qu’il a accueilli les participants à la bibliothèque. Ces élèves au nombre de douze, sont venus discuter autour de ce livre ; une œuvre de Koura Karafahanou Sylvie. Lecture et discussion de l’œuvre était au rendez-vous. Les participants ont tiré beaucoup d’enseignements sur la leçon de morale de l’auteur. Ils acceptent qu’il faut d’abord être bien instruit pour mieux réussir tout métier. Ils ont ensuite posé des questions pertinentes comme le sens du mot rappeur et Golden boys.
Mais avant de se séparer, les participants ont formé un club de lecture. Ils se réuniront chaque samedi dans l’après-midi pour discuter sur les livres qu’ils auront lu. Pour le gérant de la bibliothèque, c’est l’une des tâches très importantes pour lui, d’encourager les enfants à la lecture.

Les échos du programme de lecture leaders are readers dans les bibliothèques de Boni et Karaba

Les bibliothèques villageoises de Boni et Karaba dans province du Tuy, ont accueilli les 29 et 30 janvier 2019 le programme de lecture intitulé leaders are readers. Le programme est à sa troisième édition. Il est piloté par la bibliothèque de l’ambassade des Etats-Unis en partenariat avec FAVL. En effet, ces deux bibliothèques reçoivent massivement aux heures d’ouvertures les participants du programme et autres lecteurs. Ils lisent et fond des résumé des livres pendant tout le temps de l’ouverture de la bibliothèque. Pour des livres qui ont moins de pages, certains arrivent souvent à lire et résumer trois à quatre livres avant de prendre un autre pour lire à la maison.

Communications avec les bibliothécaires de Niankorodougou, Pensa, Ziga et Sebba au #Burkina

  • A Niankorodougou, la bibliothèque est toujours ouverte selon les heures d’ouvertures. Elle reçoit moyenne 30 à 40 fréquentation/jr. Les sorties varient entre 10 et 14. Le club de lecture fonctionne mais avec une baisse des membres cela est dû aux grèves des élèves. La baisse est aussi due à l’ouverture d’une bibliothèque au lycée communal de Niankorodougou.
  • A Ziga, la bibliothèque est toujours ouverte selon les heures d’ouvertures. Elle reçoit moyenne 40 à 45 fréquentation/jr. Les sorties varient entre 5 et 10. Des rumeurs d’attaques terroristes font que de temps en temps les populations ont peur mais pour l’insatnt chacun prie Dieu. Le bibliothécaire perçoit son salaire mais n’est toujours engagé comme agent communal.
  • A Pensa, la bibliothèque est souvent ouverte selon les heures d’ouvertures. Elle reçoit les enfants qui viennent lire mais ne fait d’activités d’animation. Depuis janvier 2018, elle n’a toujours pas reçu de salaire. Le février est partie à la mairie pour signer une autre demande du comptable parce que la première a été rejetée.
  • A Sebba, la bibliothèque est toujours ouverte selon les heures d’ouvertures. Avec les consignes reçues des forces de l’ordre, il ne fait pas d’activités d’animation. C’est juste des consultations sur places qu’il fait. La sécurité est fréquemment à Sebba.

Programme de lecture «Leaders are readers» dans les bibliothèques de Kongoussi et Nasséré #Burkina #lwili

Après les 30 et 31 janvier 2019 dans les bibliothèques de Boni et Karaba, c’est autour des bibliothèques de Kongoussi et Nasséré toutes dans la province du Bam de connaître le programme de lecture dénommé «Leaders are readers». C’est dans une ambiance totale avec les élèves des lycées et collèges des communes de Kongoussi et Nasséré en présence des bibliothécaires et des personnes de ressources (responsables de l’éducations et représentants des maires) qu’une équipe de la bibliothèque de l’ambassade des USA au Burkina Faso et celle de FAVL-BF ont procédé au lancement de la troisième édition du programme de lecture. Initié par la bibliothèque de l’ambassade des USA en collaboration avec l’association Amis des Bibliothèques de villages africains/FAVL, le but principal est de : sensibiliser et orienter les élèves du premier et second cycle à fréquenter les bibliothèques et à lire afin de cultiver en eux les habitudes et le goût de la lecture. Avant de procéder aux cérémonies de lancement, l’équipe de FAVL est passée présenter le programme au premier responsable du lycée provincial de Kongoussi et communal de Nasséré. Elle leur a demandé leur implication afin que les élèves se mobilisent d’avantage pour la réussite de cette activité.

Les cérémonies de lancement dans les bibliothèques ont consisté à expliquer le programme et son déroulement, à donner tous les arguments nécessaires sur l’importance de la lecture. Madame Bethany Beaupain, chef de mission de l’équipe de la bibliothèque de l’ambassade des USA au Burkina Faso, n’a pas manqué de partager avec les participants, les habitudes de lecture aux USA. Pour accompagner les bibliothèques et les participants, chacune des bibliothèques a reçu un lot d’au moins de 140 livres de la part de la bibliothèque de l’ambassade. Dans chaque bibliothèque les participants ont été invités à se mobiliser, à s’inscrire et lire durant cette période de trois mois (février à avril) que couvre le programme afin de décrocher les plus gros lots lors des cérémonies de remise des prix. Nous souhaitons à tous les participants de très moments de lecture.

Les œuvres au programme scolaire comme source de motivation à la lecture au #Burkina

Tuina-Tene smTuina Tènè est une élève en classe de seconde au lycée municipale de Houndé. Elle a découvert la bibliothèque en ce début d’année scolaire 2018-2019 grâce à son professeur de français qui leur a conseillé des œuvres au programme. D’octobre à aujourd’hui, elle a lu quatre livres (Le parachutage de Norbert Zongo, Le crépuscule des temps anciens de Nazi Boni, Sous l’orage de Seydou Badian et Les frasques d’Ebinto de Amadou Koné). Lorsqu’elle s’est abonnée et a pris le premier livre «Les frasque d’Ebinto», elle a beaucoup aimé l’histoire d’Ebinto. Selon le récit de sa compréhension après lecture, il y a des gens qui cherchent ou il ne faut pas chercher. Pour l’instant, elle trouve son compte à la bibliothèque de Karaba et pense pouvoir lire au moins 10 livres en cette année 2019.

 

«Leaders are readers» dans deux bibliothèques de la province du Tuy au #Burkina #lwili

Les 30 et 31 janvier 2019, une équipe de FAVL-BF en collaboration avec la bibliothèque de l’ambassade des USA au Burkina Faso, a procédé au lancement de la 3eme édition du programme de lecture «Leaders are readers» dans deux bibliothèques de la province du Tuy. Celles de Boni et Karaba. Les cérémonies de lancement ont connu une forte mobilisation des élèves des lycées et collèges de Boni, ceux du lycée municipal de Houndé et du CEG de Dohoun. Sans surprise, les personnes de ressources (CVD et conseillers municipaux) ne se sont pas laissé conter ces événements très importants pour leur communauté. L’équipe de la bibliothèque de l’ambassade des USA conduite par madame Bethany Beaupain et Yaldia Gérémie, après avoir expliqué le programme et son déroulement, a donné tous les arguments nécessaires à l’amour de la lecture. Les personnes de ressources quant à elles, ont d’abord remercié la bibliothèque de l’ambassade et FAVL-BF pour leur belle initiative qui va sans doute, contribuer à donner le goût de la lecture et améliorer le niveau des élèves de la localité. Ce programme se déroulera du 1 février au 26 avril 2019. Elles ont invité les élèves à fréquenter les bibliothèques et à lire. La bibliothèque de l’ambassade des USA a remis respectivement 151 et 121 livres à chacune des bibliothèques de Boni et Karaba).

Visite de bibliothèque mobile au #Burkina

Bernard nous écrit:

Le mardi 29 janvier 2019, les élèves de l’école Kassirin ont chaleureusement accueilli la BMP au sein de leur établissement. Arrivé au tour de 12h 30 minutes, j’ai mis les livres à la disposition des quelques élèves qui y étaient (10 élèves environs). Un petit instant après les enfants couraient dans tous les sens pour venir. Ainsi leur nombre s’augmentait au fil du temps. Alors, nous avons choisi de lire ensemble un seul livre : Le boubou du père noël. Les enfants ont savouré à tour de rôle cette sublime histoire écrite par Fatou Keita. Suite à lecture nous avons joué ensemble. Premièrement nous jouâmes au puzzle, deuxièmement aux jeux de lettres et de mots. On a joué aussi à la marelle.
Vers 15h et demi l’affluence des élèves devint assez grande ; donc pas commode à gérer tout seul. J’ai dû plier bagages. Mais il faut avouer que la sortie était formidable à tel point que les enfants présentaient mines tristes quand je partais. Et pour les soulager je les ai promis de revenir le lendemain.

Merci Pénélope!

Inventaires aux bibliothèques de Boni et de Koumbia, janvier 2019

Un appui technique très important de FAVL et de aider les mairies et bibliothecaires a faire des inventaires des bibliothèques. A la base des inventaires on peut connaître le nombre de livres perdus, et aussi connaître le nombre de prêts externes en retard.